Le mardi 17 juin
La Terre, irritée contre la pollution des hommes, décide de s’arrêter de tourner…
La Terre, irritée contre la pollution des hommes, décide de s’arrêter de tourner…
Trois princes en robes, huit chevalières survoltées, un dragon syndiqué et une dresseuse au bout du rouleau. Bienvenue dans un royaume où les clichés s’inversent, les codes explosent, et les émotions débordent des cartons.
De petites saynètes humoristiques sans queue ni tête s’enchaînent dans un grand Palace…
La troupe des Ateliers Buissonniers s’empare cette année de la pièce burlesque, désopilante et foutraque de Jean-Michel Ribes : « Musée haut, musée bas ».
Il a la sincérité d’un Jacques Brel, la colère d’un Léo Ferré et la passion révolutionnaire d’un Jean Ferrat. Son chant de tragédien frémissant embarque le public des scènes de France et d’ailleurs depuis vingt-quatre ans. Ses mots et sa présence bouleversent et prennent aux tripes…
Etre ou ne pas être hip-hop, telle est la question ! Si cela n’évoque pour vous que l’image de jeunes en jogging qui tournent sur la tête, une séance de rattrapage s’impose !
Ingrid Chasseur, conférencière un peu pimbêche aux faux airs de bourgeoise à lunettes, s’appuie sur la présence fortuite de 2 danseurs pour dévoiler l’origine et l’évolution de cette culture : la musique, le graff et surtout la danse.
Dans la Russie tsariste, Ivan Ilitch a brillamment gravi les échelons de la réussite sociale, il règne en maitre sur ses diners mondains et ses parties de whist,
l’existence pétrie de certitude. Sa vie est telle qu’il l’a toujours souhaitée : Facile, agréable, de bon ton. Un jour pourtant, une chute idiote, une petite douleur au côté gauche, et tout bascule…
Le Brasier, une comédie noire où les personnages sont happés dans l’engrenage d’une destinée fatale !
Dans la lignée de ses dernières créations « Proudhon modèle Courbet « et « Léo et Lui » ( Ferré) Jean Pétrement fait dialoguer le passé et le présent, avec pour question centrale, la liberté de création que s’octroie l’artiste.
Tu tournais le coin de la rue lorsque je t’ai vu, il pleut…
Une seule phrase de 70 pages lancée d’un seul souffle. Ce monologue empreint de réalisme déroule le quotidien d’ un homme confronté à son errance à son statut d’étranger à ses rencontres avortées… Aucune sensiblerie dans ce texte sublime où la cruauté côtoie la poésie.